Archive annuelle 6 février 2017

ParCGT MEL

Arrêt des économies de bouts de chandelles sur le dos des agents précaires

 

A la Mel, fin de contrat = démission = 3 mois de carence

 

La CGT-Mel dénonce le sort réservé à nos collègues contractuels arrivés au terme de leur contrat et qui (pour des raisons qui les regardent) ne souhaitent pas de renouvellement de contrat. Des courriers de renouvellement leurs sont envoyés hors délai pour les mettre en situation de devoir refuser un nouveau contrat. Cela dans le but de pouvoir les considérer comme « démissionnaires ». Des lettres de démission leurs sont d’ailleurs demandées.

La CGT-Mel exige l’arrêt de cette pratique qui n’a pour but que d’économiser quelques mois d’indemnité via une carence légale en cas de démission.

Nous rappelons dans le même temps à nos collègues contractuels qui (pour des raisons qui les regardent) ne souhaitent pas de renouvellement de contrat qu’il est important d’informer l’administration par écrit avant la période de préavis.

A la Mel, contractuel = passage d’échelon interdit

La CGT-Mel dénonce la récente interdiction de passage d’échelon pour nos collègues contractuels. Dixit le DGS, ces passages d’échelon décourageraient nos collègues contractuels quant au passage des concours. C’est un faux prétexte : les collègues passent des concours quand ils sont organisés. Ils les ratent en très grand nombre du simple fait qu’il y a trop peu de postes ouverts. La CGT Mel exige le retour de ces passages d’échelon pour permettre des niveaux de salaire en adéquation avec l’expérience acquise des agents concernés.

La CGT-Mel exige l’arrêt de ces économies de bouts de chandelles faites sur le dos des agents précaires.

ParCGT MEL

Entendus et respectés grâce à votre solidarité et votre mobilisation !

Mobilisation pour la défense des libertés syndicales

Chers camarades, chers collègues,

Vous avez été nombreux à vous mobiliser ce jeudi 19 janvier, à l'ouverture du Comité Technique, pour défendre une collègue menacée d'une sanction disciplinaire pour avoir communiqué, à la demande de notre camarade Daniel DUTHILLEUL, une situation de gale dans son service.

Par votre mobilisation, vous nous avez permis d'être entendus par le Président CASTELAIN qui était présent au même moment.

Nous avons pu lui expliquer la démarche de la CGT, et lui faire remonter notre souhait de voir nos collègues officiellement et rapidement informés de la situation sanitaire et des mesures à prendre. Nous avons, enfin, demandé au Président CASTELAIN l'arrêt immédiat de toute démarche disciplinaire et dénoncé le climat d’intimidation à l’encontre des libertés syndicales

Le Président a, semble-t-il, compris notre demande : il a notamment souhaité que «cette affaire cesse et ne prenne pas des dimensions disproportionnées".  Egalement présent au CT, le vice-président aux Ressources humaines,  Jean-Louis FREMAUX, a déclaré devant les agents que "cette histoire n'aurait jamais du exister et qu'elle devait être considérée comme terminée"

Nous espérons donc désormais que s’instaure un véritable dialogue social à la Métropole européenne de Lille, qui soit constructif et respectueux de toutes et tous.

Nous tenons à réitérer notre soutien à notre collègue éprouvée par cette menace et à vous féliciter à travers votre mobilisation.

C’est uniquement grâce à votre solidarité et votre courage que l’on a pu, ensemble, nous faire entendre et respecter !

La CGT MeL Lille, le 20 janvier 2017

 

ParCGT MEL

Quand la MEL s’en prend aux lanceurs d’alerte

 

 

 

REPRESSION SYNDICALE A LA MEL :

Quand la MEL s'en prend aux lanceurs d'alerte