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RIFSEEP Les recours, c’est maintenant !

 

RIFSEEP,

Les recours, c’est maintenant !

 

 

 

 

 

Le discours ambiant tente de vous faire croire  qu’en cas de déclassification de vos fonctions, il vous suffira d’attendre le prochain EPA (Entretien Professionnel Annuel) pour en discuter avec votre hiérarchie.

Nous vous demandons de ne pas commettre cette erreur et de mettre l’Administration face à ses responsabilités en engageant un recours.

Les textes de loi en vigueur indiquent votre possibilité de contester votre classification par recours administratif ou recours contentieux dans un délai de deux mois suivant la notification de l’arrêté correspondant.

Nous distribuons ce tract en connaissance de cause !

 

Ces derniers mois, l’Administration n’a pas voulu entendre nos mises en garde concernant le nombre important de collègues venus témoigner leur malaise, leur incompréhension et leur colère en apprenant oralement leur classification par leur hiérarchie .

 

Nous estimons, au vu des retours qui nous ont été faits, que plusieurs centaines de collègues ont été reclassés au détriment de leurs fonctions réellement exécutées

 

Si vous êtes effectivement concernés, nous tenons à votre disposition un modèle de recours à compléter.

 

Une fois votre lettre de recours complétée, il vous appartiendra :

– soit de la transmettre au secrétariat de la CGT MEL pour un envoi groupé, par recommandé avec accusé de réception au Président de la MEL et à la Direction des Ressources Humaines

– soit de l’envoyer directement, par recommandé avec accusé de réception, au Président de la MEL et à la Direction des Ressources Humaines

 Ne laissez pas filer ce délai de 2 mois, après lequel plus aucun recours ne sera possible !

Vous trouverez un modele de recours ICI 

 

 

Entretiens professionnels :

Exigeons nos fiches de poste !

 

 

 

La CGT demande que tous nos collègues disposent d’une fiche de poste mise à jour lors de leur EPA.

Dans le cas contraire, nous leur conseillons de ne pas donner suite à l’entretien professionnel.

 

 

 

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Les violences seraient-elles couvertes en haut lieu ?

Les violences seraient-elles couvertes en haut lieu ?

 

Sur les réseaux sociaux et dans les médias, circulent des images sur lesquelles on peut voir le responsable de la sécurité du président de la République s’adonner à des violences, lors d’une manifestation le 1er mai. À en croire les services de l’État (dixit le directeur de cabinet du président), il était en « immersion » parmi les forces de l’ordre afin de voir « comment se gérait la sécurité d’une grande manifestation » !


Pourtant, ce que l’on constate sur les images n’a rien à voir avec la gestion de la sécurité mais plus avec un déferlement de violence gratuite envers les manifestants. Violences importantes et répétées ! Nous constatons aussi, sur ces images, que des personnes, hors police, peuvent se munir de casques de policier et intervenir avec violence pour frapper des militants en toute impunité. 
Comment les autorités peuvent-elles justifier la présence active d’un individu extérieur aux forces de police ? Etait-il habilité, par qui, pour quoi ?


Déjà, lors des mobilisations contre la loi travail, des violences avaient été constatées, la CGT avait exigé une enquête parlementaire.

 


La CGT est favorable à la sécurité des manifestations et de ceux qui y participent. Quels sont les ordres donnés par les autorités publiques aux forces de l’ordre ? Quels moyens leur sont attribués pour assurer une réelle sécurité ? Les autorités doivent tout mettre en œuvre pour y parvenir.


Cette enquête n’a jamais eu lieu. Elle doit maintenant être diligentée dans les plus brefs délais. Il est question de libertés fondamentales comme celle de manifester, revendiquer, se mobiliser pour faire valoir des exigences citoyennes.

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La CGT force de propositions pour nos services publics

La CGT force de propositions pour nos services publics

 

La CGT se contente-t-elle de dénoncer ? Non, elle propose et le fait savoir. Comme lors d’une conférence de presse sur la fonction publique, qui a réuni outre Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, Baptiste Talbot, secrétaire général de la CGT services publics, Mireille Stivala, secrétaire générale de la CGT Santé action sociale, et Christophe Delecourt, membre du bureau de la CGT fonction publique d’État.

Pourtant, les motifs d’insatisfaction sont légion. « Le ministère nous a confirmé que nous nous dirigions vers une nouvelle année de gel du point d’indice », s’est désolé Baptiste Talbot. À cela il faut ajouter la suppression du CHSCT (comité hygiène sécurité et conditions de travail) qui devrait fusionner avec le CT.

Murielle Stivala a insisté sur la fonction publique de proximité que défend la CGT, qui va à l’encontre des projets gouvernementaux. Car, l’a martelé Christophe Delecourt, « nous allons vers une réduction du périmètre de l’action publique », via des privatisations à venir, mais aussi des transferts de mission, et l’abandon de pans entiers du service public.

Face à ce désastre annoncé, les trois fonctions publiques ont préparé un programme commun en 13 propositions, un véritable ballon d’oxygène pour nos concitoyens et leurs services publics. Nous vous présentons sans plus attendre les trois premiers chantiers de la CGT pour la fonction publique.

1/ Quels services publics dans les territoires ?

2/ Les emplois nécessaires pour la fonction publique

3/ Pour la résorption de l’emploi précaire

Retrouvez ici notre dossier sur les élections dans la fonction publique.