Archives de catégorie Actualité

ParThierry Duel

5 juin : En grève et en manifestation, pour nos retraites, nos emplois et nos salaires

5 JUIN 2025 :

EN GRÈVE ET EN MANIFESTATION
POUR NOS RETRAITES, NOS EMPLOIS ET NOS SALAIRES

RETRAITES : GAGNONS L’ABROGATION DES 64 ANS !
Deux ans après notre mobilisation historique contre la réforme des retraites, le gouvernement et le patronat font tout pour ne pas abroger cette réforme.
Seule notre mobilisation peut faire la différence.

UN RÉFÉRENDUM ? CHICHE !
La paire Macron/Bayrou envisage un référendum ? Aidons-les à en choisir le sujet : Pourquoi pas l’abrogation des dernières réformes des retraites qui concerne directement des millions de Français·es ?
Plus de 70 % des Français·es sont favorables à l’abrogation de la réforme et sont intéressés par cette question.

 

=> Exigeons un référendum sur la retraite par répartition à 60 ans et à taux plein !

Dans les collectivités territoriales, les établissements publics, les entreprises privées de l’eau, du logement social et du funéraire, grèves, débrayages :
On fait pression pour nos revendications !

 



Ingés, cadres, techs :

NOS RETRAITES  DANS LE VISEUR DU GOUVERNEMENT

Voir le tract ci dessus :

 

ParThierry Duel

Le 13 mai, on met les services publics à l’arrêt ! 

Le 13 mai, on met les services publics à l’arrêt ! 

 

 

Alors qu’une nouvelle cure d’austérité imposée à la fonction publique pour 2025 par le gouvernement, dans sa construction d’une économie de guerre, a des conséquences concrètes partout sur le territoire, pour l’ensemble des agent·es et des usager·es : fermeture de services, renvoi de contractuels, arrêt des formations, fin des recrutements, coupes drastiques des lignes budgétaires impactant tous les services à la population, des prestations sociales à la culture…François Bayrou a annoncé, lors de sa conférence de presse, les premières grandes lignes du prochain budget 2026. Une conférence de presse tenue sur les bases d’une formule ahurissante affichée sur son pupitre : « la vérité permet d’agir ». Sa « vérité » n’est sûrement pas la nôtre !

Comment peut-on prétendre agir sur les bases d’une vérité construite sur des mensonges coupables ?
Comment envisager la construction d’un « dialogue social » fondé sur des échanges qui devraient être sincères et loyaux lorsque les principales causes du déficit ne sont pas pointées et que nous, salarié·es et fonctionnaires, sommes les seules variables d’ajustement ?
Par cette communication démagogique, le Premier Ministre tente de camoufler la responsabilité de sa politique, mise en œuvre par ses prédécesseurs et lui-même, qui n’est ni plus ni moins que celle du Président Macron.

Les mesures du budget de 2026 seront désastreuses et il faut s’attendre à des coupes franches en raison de l’économie de guerre à assumer et des prétendus déficits. Ils annoncent déjà 40 milliards d’euros supplémentaires, qui seront pris sur la sécurité sociale, les services publics et les collectivités locales.
Les services publics seront particulièrement touchés et les collectivités territoriales devraient en être les principales impactées.

Les conséquences seront terribles sur le terrain, tant pour les agent·es que pour les usager·es.
Alors qu’aujourd’hui l’ensemble de celles et ceux qui œuvrent quotidiennement à assurer les missions des collectivités territoriales souffrent de conditions de travail et salariales particulièrement dégradées, renforcées par les dernières mesures : réduction de 10 % de l’indemnisation en cas d’arrêt maladie, de non-reconduction de la GIPA depuis 2024, la poursuite du gel du point d’indice, François Bayrou entend nous faire serrer encore plus la ceinture.

Or, de l’argent, il y en a ! C’est bien vers les actionnaires et le patronat qu’il faut se diriger pour les voir partager les richesses produites. Nous n’avons que faire de leur prétendue économie de guerre et des fausses solutions qu’ils nous imposent.

Ce qui est aujourd’hui vital, c’est bel et bien de répondre aux besoins des usager·es par le renforcement des services publics territoriaux et de prioriser l’amélioration des conditions de travail et salariales des agents et agentes.
Plus que tout, nous avons besoin de faire entendre notre voix, la voix de millions d’agent.es invisibilisé.es dans les discours et les décisions, et qui pourtant, permettent de faire fonctionner notre pays.


Le 13 mai, chaque agent·e est invité·e à se mobiliser pour exiger :

  • L’augmentation du point d’indice des fonctionnaires à 6 € et l’augmentation générale des salaires ;
  • Le maintien de l’indemnisation des CMO à 100 % et l’abrogation du jour de carence pour le droit de se soigner.
  • L’égalité salariale qui permettrait l’entrée de 6 milliards d’euros de cotisations salariales pour notre système de protection sociale afin de le conserver voir de le renforcer ;
  • L’abrogation de la réforme des retraites Macron- Borne et le retour à la retraite à 60 ans (avec départs anticipés pour les catégories pénibles et insalubres) ;
  • L’abrogation de la loi dite de transformation de la Fonction publique, qui n’est rien d’autre qu’une vaste machine à précariser les agent·es et à préparer le terrain des privatisations.

La Fédération CGT des Services publics appelle l’ensemble des agent·es publics à construire et à se saisir de toutes les formes d’actions sur le territoire (HIS, rassemblements, préavis de grève, manifestations) afin de faire valoir leurs revendications.
Le 13 mai, on se mobilise et on fait grève pour exiger le respect de nos droits et pour des services publics territoriaux forts !

PETITION INTERSYNDICALE : pour le maintien de la rémunération en cas de maladie et pour l’abrogation du jour de carence 

https://www.lespetitions.fr/petition/org/intersyndicale/maintien_remuneration_cmo

ParThierry Duel

ENM, CET, congés Menstruels : La CGT MEL rencontre le DGA RH

La CGT MEL rencontre le DGA RH

Ce mardi 22 avril, reprise dans les starting-blocks pour Julie, Camille et Fred qui rencontraient Olivier Delsart, DRH de la MEL.
L’occasion d’un coup de pression sur quelques priorités de notre actualité syndicale :

Espaces naturels métropolitains (ENM)

Concernant la réorganisation catastrophique du service Création-Gestion paysagère, la CGT enfonce le clou. Nous obtenons confirmation de l’inscription de ce point au prochain comité social. Sur la base de notre dossier d’analyse de diagnostic, le DGA confirme être attentif à la situation. Nous l’alertons en outre sur les conditions de travail, l’ambiance s’étant particulièrement dégradée, mais aussi sur la qualité du service rendu au public qui a largement reculé. Certains ateliers ont dû être annulés au musée de plein air à la grande déception des usagers, pâtissant des dysfonctionnements et manques de moyens que nous ne cessons de dénoncer depuis plus de 6 mois.

SOS Compte Épargne Temps

Toujours pas de réponse concrète sur la campagne du CET.
Nous apprenons qu’une réunion « au sommet » avait lieu ce même jour, et que les agent·e·s souhaitant monétiser leur CET seraient bien payé·e·s. Mais quand ?
Le DGA RH s’engage à communiquer dans les meilleurs délais auprès des collègues, certain·e·s craignant en effet une remise en cause de la monétisation du CET.
La CGT ne prête pas le flanc à Radio Moquette, mais demande à l’administration d’assumer jusqu’au bout le maintien en service d’un outil aussi dysfonctionnel.
Nous exigeons une communication transparente et que la MEL assume sa responsabilité dans son entêtement à imposer avec Chronos un tel harcèlement informatique à ses agent·e·s.

Label Com


Nous apprenions de notre camarade de la CGT siégeant au comité d’octroi du label AFNOR que la MEL soutenait la proposition de la CGT pour la mise en place de congés menstruels et de ménopause.
Président Castelain, ne vous donnez pas autant de mal, votre temps est précieux !
Si vous êtes d’accord avec la CGT, ce n’est pas grave. N’ayez pas honte. Ce ne sera pas répété.

Le DGA nous rappelle que le cadre juridique national est effectivement aujourd’hui insuffisant. La CGT MEL a mobilisé les parlementaires du Territoire. Pour la CGT, les élu-e-s de la MEL doivent saisir à leur tour les parlementaires pour faire évoluer le droit si celui-ci n’est pas suffisamment abouti pour obtenir des avancées pour la santé des femmes au travail dans notre collectivité. Une com sur le label AFNOR, c’est bien mais ça ne soulage pas les douleurs.

Pour le DGA la bonne échelle pour faire bouger les lignes pourrait être l’association France urbaine…A suivre…