Une relaxe totale pour l’un des huit ex-salariés et des peines de prisons avec sursis jusqu’à 12 mois pour les sept autres, avec une mise à l’épreuve de cinq ans et l’inscription au casier judiciaire.
C’est totalement inacceptable que la justice s’acharne, alors même qu’il n’existe plus aucun plaignant, la direction de l’entreprise et les cadres ayant retiré leurs plaintes.
Comment donc, justifier cette décision, si ce n’est de vouloir éteindre toute forme de contestation des salariés face à des décisions d’entreprise iniques et injustes.